samedi 2 septembre 2017 à 11h
Nuit debout : on n'est toujours pas couchés!
rendez-vous Nuit debout, aux Jardins Debout (anciens jardins de Pocoso), les 1er s samedis du mois.
Venez donc discuter, débattre, manger, chanter, festoyer dans la joie et la bonne humeur !
- S'écouter, partager la parole, inventer d'autres formes d'actions, passer du contre au pour, etc.
- Éducation populaire, culture populaire, etc.
- Musiciens, chanteurs, comédiens, etc.
- Puiser des idées ailleurs : « Los indignados » et Podemos en Espagne, en Grèce, au Portugal, etc.
- ...
LUTTER, CRÉER, OSER, CONSTRUIRE, RÊVER ...
Une page Saint-Gaudens a été initiée sur le wiki NuitDebout :
Veillez à y faire remonter toutes les infos possibles (calendrier, commissions, communications...)
Liens :
Nuit debout est un ensemble de manifestations, régulières se déroulant sur des places publiques qui commence le 31 mars 2016 après une manifestation contre la « loi travail ». Ce mouvement social est pluriel et se propose de connecter nos luttes. La revendication initiale, le refus de la « loi travail », s'élargit à la contestation globale des « institutions » politiques et du système économique. Sans leader ni porte-parole, Nuit debout est organisé en commissions, et les prises de décisions se font par consensus lors d'assemblées générales (démocratie directe). Il y a conjonction de luttes ayant différents objectifs. Nous voulons contribuer à libérer la parole de chacun-e, ouvrir le mouvement aux classes sociales qui souffrent et aux personnes non engagées politiquement. Nuit debout s'étend aux milieux ruraux : ainsi est née Nuit debout à Saint-Gaudens. Divers sujets sont débattus : politique économique et sociale, démocratie, écologie, agriculture biologique, fin de l'économie capitaliste, rédaction d'une nouvelle constitution, enseignement, banlieues, féminisme, reconnaissance et égalité des minorités, accueil des réfugié-e-s, luttes des peuples pour leur émancipation, leur liberté, guerres coloniales, ... et aussi bien sûr les problèmes spécifiques au Comminges. Chaque personne a l'occasion de parler librement, d'exprimer ses colères ou ses espoirs. Seuls les propos racistes, sexistes, homophobes ou violents envers les personnes, ne sont pas acceptés.